Notre démarche, c'est la recherche de cohérence maximale entre l'existant et la production :

 

La forêt fournit le bois destiné :

à la construction de bâtiments de stockage pour le foin et le bois scié
à la fabrication de piquets de clôture
à être déchiqueté pour alimenter la chaudière.

La forêt sert aussi de réserve fourragère estivale et hivernale.

Les brebis fournissent viandes, laines, couettes et peaux.
Les vaches fournissent viandes, peaux tannées et savons à lessive.
Les déchets animaux sont réservés pour les carnivores de la ferme.

 


TOUT SUR L'HERBE



Qu’est-ce qu’un herbivore ?

L’herbivore est un animal qui ne se nourrit presque uniquement de végétaux. S’il lui arrive d’ingurgiter insectes et champignons, il ne le fait pas volontairement.

Qu’est-ce qu’un ruminant ?

Les ruminants sont des animaux herbivores, capables de régurgiter leur nourriture pour la mâcher une seconde fois. Grâce à la multiplicité de leurs estomacs, la nourriture avalée est partiellement digérée puis retourne dans la bouche pour être mastiquée puis encore avalée.

Qu’est-ce que la Haute Qualité Environnementale ?

Le concept HQE (haute qualité environnementale) est une démarche qualité qui permet d’intégrer les exigences environnementales dans les projets de construction, réhabilitation et aménagement de zones.


Le Domaine du Mons en a détourné les thématiques pour mettre en pratique éco-construction, éco-gestion, confort et santé à l’ensemble de la ferme.

Qu’est-ce que l’impact environnemental ?

L’impact environnemental désigne l’ensemble des changements qualitatifs, quantitatifs et fonctionnels de l’environnement (négatifs ou positifs) engendrés par un projet, un processus, un procédé, un ou des organismes et un ou des produits, de sa conception à sa « fin de vie ».

Au DDM, nous partons d’un principe élémentaire : c’est bien l’environnement qui est le cadre contraignant dans lequel nos activités humaines peuvent se développer, et non pas l’inverse ! Il ne s’agit pas de produire beaucoup et à tout prix (comme c’est le cas de l’agriculture productiviste, qui produit beaucoup mais à coûts très élevés, économiques comme environnementaux) mais de mesurer toutes les conséquences que peuvent occasionner nos pratiques. Ainsi, l’environnement devient notre partenaire, grâce auquel notre modèle agricole est possible (une production créatrice de valeur ajoutée, un temps de travail humainement acceptable, un enrichissement intellectuel permanent, un apprentissage sans fins des subtilités des mondes animaux et végétaux…), et en échange de quoi, nous participons à sa préservation, à sa dépollution et à sa biodiversité.

Qu’est ce que l’herbe ?

L’herbe désigne toute plante annuelle ou vivace, non ligneuse, de couleur généralement verte. Le plus souvent, il s’agit de graminées qui constituent herbages, prairies et pelouses.
 L’herbe a des racines, et ses feuilles naissent de bourgeons situés très près du sol. Si bien que quand une vache ou une brebis s’en nourrit, d’autres repoussent aussitôt depuis ces bourgeons. C’est aussi pour cela que l’on peut marcher sur l’herbe sans la faire mourir. Si on laisse l’herbe pousser, elle fleurit. Les fleurs forment des grappes vertes et se transforment en graines. Chaque graine peut donner naissance à une nouvelle plante.

Comment pousse l’herbe ?

Les graminées ont pour la plupart un nombre fixe de feuilles par taille. Pendant la croissance, lorsque ce nombre est atteint, la première feuille produite sèche et est remplacée par une nouvelle. En moyenne montagne, les surfaces ne poussent pas de manière homogène en fonction de leur exposition, leur sol, leur altitude, leur composition floristique, etc… Par l’observation et l’expérience, nous adaptons ces principes aux différentes prairies. Pour les surfaces où les graminées sont sous représentées (fonds humides, landes, bois, etc…), d’autres notions agronomiques permettent ainsi de continuer à économiser sur l’alimentation animale.

Qu’est-ce que pâturer ?

Le pâturage c’est « l’art de faire se rencontrer la vache et l’herbe au bon moment » (André Voisin, 1957)

Nos animaux pâturent toute l’année, et donc, pour cela, se déplacent sur l’exploitation toute l’année.
 Si l’on part du principe que les ruminants sont destinés à manger de l’herbe et si l’on respecte leurs aptitudes naturelles de croissance et qu’on les sélectionne dans cette optique, leurs performances seront optimisées. Il faut ajouter à cela que l’herbe pâturée coûte trois fois moins cher que l’herbe récoltée et que si l’on maintient un pâturage tournant sur toute l’année, on évite des frais de mécanisation d’épandage du fumier (pour ne pas dire des frais de bâtiments, de paillage… sans compter les coûts énergétiques liés à la consommation de fuel et l’utilisation de matériel).


Comme le disait André Pochon « La vache est un animal extraordinaire, elle a une barre de coupe à l’avant et un épandeur à l’arrière »

Vous l’aurez compris, permettre à ses animaux de toujours aller chercher eux-mêmes leur nourriture n’a que des avantages : fortes économies d’énergie, entretien des prairies, enrichissement de la biodiversité. Car en effet, au-delà de la gestion de l’herbe au printemps et à l’automne, nous nous sommes intéressés à construire du « stock sur pied » et sur place, riche et varié.

 

Et c’est là que cela devient nettement plus compliqué ! Car en effet, il faut à la fois tourner sur les parcelles en début de printemps, les maintenir «poussantes» et de bonne qualité et observer et spécialiser celles qui vont pouvoir sauter un tour voire plusieurs pour offrir une ressource très abondante quand les fortes chaleurs arriveront et que plus rien ne poussera ou quand l’hiver aura eu raison de la végétation. Ceci demande de l’observation, une forte volonté de ne pas se laisser emporter par l’idée d’avoir le plus de foin possible ou encore, l’idée stupide de « faire propre » et ainsi éliminer ronces, joncs, genêts, bref, tout ce qui dépasse mais qui pourtant peut être admirablement bien consommé l’hiver ou l’été. Cela requiert également une bonne docilité du troupeau qui doit pouvoir circuler dès que nous le décidons sur toute l’exploitation – et donc plusieurs km – sans que cela ne pose problème (et que bien entendu, nous soyons obligés de mobiliser une armée de personnes pour les déplacer). Car les animaux mangent, ni indifféremment tout ce qui se présente, ni le « meilleur » d’abord et le « moins bon » ensuite. Ils ne privilégient pas forcément les plantes de meilleure valeur nutritive et peuvent démarrer un paddock en choisissant d’abord des broussailles ou des herbes grossières. Ils sont avant tout amateurs de biodiversité alimentaire. Les mélanges sont pour eux motivants et les déplacements réguliers, également. La souplesse de déplacement est également de rigueur en fin d’été pour aller chercher la molinie non consommée avant les premiers gels ou encore aller nettoyer les fonds humides lorsque les sols sont portants : en fin d’été sec ou en plein hiver quand il fait froid, y compris sous la neige. Dans tous les cas et en particulier dans les cas extrêmes, fortes chaleurs ou grosses pluies (les animaux ne craignent guère le froid), nous faisons en sorte que les troupeaux aient toujours accès à un espace porteur, sec et abrité. Ceci est possible grâce à la forêt qui entoure nos parcelles ou aux arbres laissés.

L’hiver, nous déroulons le foin à même le sol, partout sur les prairies. Ainsi, non seulement la totalité du troupeau a accès à la nourriture au même moment (et non pas : les plus fortes puis les plus faibles), mais encore, nous répartissons les bouses et favorisons le réensemencement des prairies sur toutes les surfaces.
 Cette gestion de l’herbe annuelle assure la sécurité alimentaire des troupeaux tout en maintenant un chargement proche de 1 UGB (Unité Gros Bétail, soit une vache et son veau) par hectare.

Pourquoi pas de maïs ?

Le maïs est une plante TRÈS énergivore : gourmande en engrais, en frais de mécanisation, matériel spécifique de semis, de récolte, de stockage, de distribution, nécessitant beaucoup d’eau, et ne pouvant être distribuée en ration unique. Son complément le plus évident est dans la plupart des cas le soja. Il est cultivé en monoculture, parfois plusieurs années de suite sur la même parcelle et si ce n’est pas le cas, induit nécessairement la destruction d’une prairie naturelle.
 Il ne peut donc être une réponse aux enjeux de l’élevage.


ANIMAUX ET RÉSILIENCE DU SYSTÈME



Quels sont les moments importants ?

Nous avons calé vêlages et agnelages au printemps (mars – avril essentiellement). Les animaux sont nourris exclusivement à l’herbe, complété l’hiver par du foin. Le pâturage d’hiver permet un nettoyage complet des prairies et évite bien entendu tout passage parfaitement inutile du tondo-broyeur. Comme leur capacité d’ingestion diminue au fur et à mesure que l’hiver avance (leur gestation progresse) les troupeaux limitent également leur consommation de foin et nous faisons donc attention à réserver un foin « diététique » pour la fin (équilibré en sucre et en fibres). Cerise sur le gâteau, la lactation des mères suit la pousse de l’herbe. Au printemps et à l’automne en particulier, la gestion de l’herbe en paddocks permet de donner une herbe de très bonne qualité (riche en protéines notamment) à des moments clés de l’élevage : début de lactation au printemps, finition des animaux adultes en fin de printemps ou à l’automne pour les périodes de vente : juin et novembre – décembre (les bœufs et génisses ont alors au moins 3 ans et les agneaux, au moins 8 mois, parfois 12, voire 18 mois).

Par empathie, souci de cohérence, tentative de comprendre ce que des ruminants aiment par-dessus tout, il nous a semblé opportun de réfléchir à ce qui est le plus proche de leur rythme naturel.

Donnez-leur le choix et vous comprendrez que pourvu qu’ils aient accès à une nourriture et une eau de qualité, les bovins comme les ovins préfèrent de très loin le plein air. Libres de leurs mouvements, les mères peuvent s’isoler sur les parcelles pour mettre bas ; l’espace, à l’opposé du confinement, ne nous oblige pas à leur infliger des traitements barbares (comme le fait de leur couper les cornes), de les traiter en raison d’un environnement mal maîtrisé (trop de courants d’air, trop d’humidité, trop de poussières, trop de gaz asphyxiants ou irritants, pas assez de « gymnastique », un sol trop dur, trop mou, des cloisons trop chaudes, trop froides, etc.). En extérieur, l’animal apprend à se placer par rapport au vent, à la pluie, sait utiliser les éléments naturels des buissons et des arbres pour s’abriter, se mettre à l’ombre et à l’abri, est capable de développer au fil des saisons un pelage de protection, augmenter ou diminuer son rythme métabolique, stocker et déstocker de la graisse pour passer l’hiver.

Et c’est ainsi que nous avons pu définir des critères pour la sélection de nos troupeaux : en privilégiant les animaux rustiques, aux bonnes qualités maternelles, avec des aplombs irréprochables. Pour les mères, des facilités de mises bas autant que possible, issus de naissance non gémellaire pour les ovins ; pour les pères, un caractère serein, une bonne conformation, un géniteur favorisant les animaux toniques et plutôt de petite taille à la naissance. Quant aux races à choisir, beaucoup nous semblaient séduisantes et capables de remplir ces critères. Nous y avons ajouté leur capacité à aisément produire une viande persillée avant même de mettre une couverture de gras sur le dos. Ainsi avons-nous choisi : la Gasconne, l’Aubrac, la Salers, la Tarentaise, la Vosgienne, la Charolaise croisée, la Limousine croisée pour ce qui est des bovins, la Limousine, la Tarraconaise, la Noire du Velay et la Thône et Marthaud pour les ovins.

Qu’est-ce que la résilience ?

La résilience est la capacité d’un écosystème à résister et à survivre à des altérations et à trouver à terme un nouvel équilibre.

En nous accrochant au principe de base d’obtenir une autonomie maximale – alimentaire, énergétique, économique, de gestion de la ferme, de choix de commercialisation il nous a semblé que toute altération aurait un moindre impact sur l’ensemble du système.

Le travail du chien de troupeau

S’intéresser tout particulièrement au bien-être animal, c’est nécessairement obtenir des résultats très encourageants. C’est donc bien naturellement que nous nous sommes ouverts à la fois aux champs de l’éthologie et au travail avec chien de troupeau.

Le travail au troupeau avec un chien est sans doute la partie la plus extraordinaire du métier d’éleveur. Un univers qu’il faut sans cesse explorer, qui permet, si l’on s’en donne la peine, de s’élever dans la compréhension de l’animal et de l’humain.

Les chiens de la ferme sont des chiens de troupeau. Plus ou moins ardents au travail mais globalement toujours dévoués et volontaires.


PRODUCTION DE VIANDE 
ET PRODUCTIONS ANNEXES



Les produits animaux

Au Domaine du Mons, le bien-être des animaux est capital. Pas un seul d’entre eux n’est parti pour une filière dite « longue », autrement dit, dans un centre d’engraissement qui permet de se « débarrasser » des animaux en trop sans se soucier de l’impact environnemental (Vous pouvez calculer ce que coûte l’envoi d’un veau en Italie qui sera là-bas engraissé au maïs et au soja du Brésil dans des centres d’engraissement).
 Tous (agneaux et veaux) ont vécu aux côtés de leur mère (jusqu’au sevrage), dehors et en liberté.

Ce que nous continuons à maîtriser, c’est l’autonomie alimentaire de la ferme — ce qui veut dire que nous n’importons aucun aliment pour nourrir les bêtes — et notre impact environnemental très faible car nos bêtes plus que toutes les autres broutent des prairies naturelles vieilles de plus de 20 ans (qui ne sont donc pas mécaniquement retournées et réensemencées) et ne consomment du foin qu’a minima.

Or l’empreinte carbone d’un ruminant est essentiellement liée à ce qu’il mange durant toute sa vie, le trajet qu’il fait entre la boucherie et votre assiette n’ayant que peu d’incidence, surtout si la totalité de l’animal est vendu en une seule fois.

Au Domaine du Mons enfin, la valorisation totale de la totalité des bêtes justifie leur sacrifice et nous nous sommes attachés à trouver une solution pour la viande certes mais aussi pour tout ce que l’on pourrait nommer « sous-produit »..
Tout savoir sur la viande ->

Laine filée


Les récoltes (faites par nos soins) sont lavées, cardées et filées. Les premières chaussettes ont fait leur apparition !… Nous fournissons les pelotes…

Couettes en laine du domaine

Jusqu’en 2013, la laine récoltée sur le troupeau a été peu ou prou jetée. Riche en azote, elle tapissait les sols entourant les fruitiers plantés ou bien elle allait boucher quelque trou dans un mur de grange jusqu’à ce qu’elle soit mangée par des mites. Peu concluant en effet. La vendre aurait en tout cas coûté plus cher que la laisser pourrir. Quant à la donner, à peu près personne n’en a jamais voulu. Avec la tonte triée de 2014, un artisan de la Haute-Loire, non loin du tanneur qui réalise les peaux de mouton, a pu confectionner une quinzaine de couettes et oreillers de différentes tailles et épaisseurs. La laine, lavée, cardée, et nappée n’est pas traitée, le coton qui l’enveloppe est bio. Les couettes, piquées en carreaux, se maintiennent parfaitement.
Ces produits-là ne se font que sur commande.

Peaux tannées

Pas question non plus de laisser partir les peaux à l’industrie du cuir qui d’ailleurs ne tanne plus pour les particuliers.
La biodiversité des troupeaux permet d’obtenir des peaux d’une originalité rare et de toute beauté. Tannées à la main par l’une des dernières tanneries française n’hésitez pas à demander celle que vous souhaitez. Chaque exemplaire est unique.

Savons

Les gras de bœuf font l’objet d’une saponification, permettant la confection de savons que l’on émiette dans l’eau et auxquels on ajoute des huiles essentielles pour la fabrication de lessive.

Viande pour chiens et chats

À la découpe, touts les déchets sont récupérés et distribués aux carnivores de la maison, augmentant ainsi notre autonomie de nourriture qui leur est destinée.

 


BIBLIOGRAPHIE


 

Nombreux sont celles et ceux qui ont nourri nos réflexions et guidé nos actions. C’est à leur contact et / ou grâce à la lecture de leurs œuvres que nous avons pu mieux comprendre et plus facilement faire les choix à faire sur cette ferme et dans notre vie en général selon la devise : «penser global, agir local».

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